A voce rivolta
I MUVRINI & TINA ARENA + 500 choristes
les YVELINES et le VAR
*1er octobre 1962: Groupe scolaire Jean Jaurès de Saint-Cyr-l'Ecole, dans les Yvelines.
*1963: Centre "Hourvary" du Perray-en-Yvelines, pour enfants délaissés, abandonnés.
*Collège de Trappes comme professeur de français, d'histoire-géographie.
*Collège de la Celle-Saint-Cloud comme professeur de français, d'histoire-géographie.
*Ecole élémentaire Jean Mermoz de Vélizy-Villacoublay.
*De nombreuses années(de1967 à 1986) à l'école élémentaire Paul Langevin du Chesnay.
*Le 20 octobre 1986: Intégration dans le département du Var: retour au pays natal.
*Quelques remplacements: Toulon, Solliès-Pont, Signes, Méounes, Solliès-Toucas,...
*Jusqu'à ma retraite: Ecole élémentaire Eric Ventdest.
*Année scolaire 1993/1994: Direction de l'école Eric Ventdest.
*De novembre 1993 à fin janvier 1994: fâcheuse et douloureuse épreuve: incompréhension entre
une mère d'élève et une maîtresse du 3ème cycle.
*Les années suivantes, je reprends ma fonction préférée: celle de maître d'école.
*Juillet 2000, j'abandonne mon poste pour une retraite, bien méritée... selon la formule consacrée.
*Ayant refusé d'enseigner en maternelle. J'ai fait de mon mieux du CP à la classe de 3ème...
*Si je devais m'évaluer, je dirai: "Enseignant ayant progressé tout au long de sa carrière...
mais aurait pu certainement mieux faire."
*Je quitte, à regrets, une équipe d'enseignants... sympathique, sérieuse et surtout professionnelle.
*Je souhaite à mes jeunes collègues "BONNE NAVIGATION !".
Tout simplement pour faire évoluer certaines mentalités.
J'ai été mis sur la touche par nos deux protagonistes. Elles m'ont
tenu à l'écart de leur opposition, de leur conflit.
A deux ou trois reprises, les deux "acariâtres" (surtout de la part de
la collègue) m'ont apporté leurs versions en me citant certains
détails qui m'ont paru soit âneries (ceux de la maîtresse), soit dérisoires (ceux de la mère.
Leurs arguments ne m'ont pas convaincu du tout.
Nous sommes en 2012, j'ignore toujours le fin mot de cet affrontement.
La preuve que je ne suis pas curieux...
Dès le départ, j'ai voulu calmer "le jeu". Ne pas me mêler des
affaires d'autrui car à cette époque la fonction de médiateur n'existait pas.
D'autres personnes ont envenimé, alimenté, aggravé la situation, au
point d'exacerber la maman, en utilisant leur langue de vipère.
Je sais, c'est toujours la faute des autres. C'est ainsi... De toute
manière, je n'ai parlé à personne puisque l'on m'avait mis en quarant-
aine. Les guêpes ont agi avec clairvoyance: elles ont butiné "l'essen-
ce de mon esprit". Elles ont senti le danger, sans aucun doute.
J'ai une pensée pour l'élève. C'est certainement, la personne qui a le
plus souffert de la bêtise des grands.
C'est à partir d'une incompréhension entre deux adultes, que j'ai rédigé, imaginé???:
L'AFFAIRE DELORN.
[ Le Prince ]
Justificatif: En fait, les 2 déclencheurs de mes "Confidences" ont été d'une part
les commentaires surprenants de l'inspecteur et d'autre part les propos
provocateurs de la C.E.S. que j'ai employée. En effet, cette dernière s'est permise
de me dire, dans mon bureau, clairement que j'étais incapable de raconter et surtout
d'écrire une histoire sur "L'AFFAIRE DELORN".
C'est chose faite: écrite (en juillet & août 1994) et aujourd'hui en ligne sur la toile
depuis le mois de mai 2011.
Elle n'est pas belle la vie!
Diaporama à télécharger sur votre ordi et, ensuite... (plus tard), à ouvrir avec PowerPoint Viewer.
C'est pas sorcier
"un jour, on découvrira des vaccins qui perrmettront de guérir le cancer et le sida.
En trouver un, pour soigner la jalousie ou la connerie humaine,
c'est au-dessus des forces de nos chercheurs."
D'après les propos du brésilien RAÏ, élu meilleur footballeur du siècle au PSG.