Cette photographie, cette image, je l'ai empruntée sur la toile. Ce n'est pas moi.
N.B:SOUVENIR DE JEUNESSE (mon idole: Claude François)
A cette époque, je fréquentais déjà les "surprises-parties";
mais j'étais, pour ma mère, resté un minot.
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Quelques jours (quatre ou cinq), avant la rentrée scolaire de septembre, je reçois, avec plaisir, mon
nouveau et premier collègue, nommé dans l'établissement <<Eric VENTDEST>>.
Je lui donne un "bon point" pour avoir pris soin de se déplacer, de se présenter devant son aîné,son
"chef".
Il est grand, mince, poli et affable: "Voilà un collègue sympathique"... me dis-je.
Les présentations étant faites, nous nous mettons d'accord sur le choix de sa nouvelle classe.
Nous plongeons dans le vif du sujet car une rentrée, il ne faut surtout pas la rater: il faut qu'elle
surprenne nos élèves, surtout les petits, les nouveaux arrivants.
Elle surprendra les mamans, mais surtout les élèves du CP; en leur offrant un petit-déjeuner chaud ou
froid à nos jeunes passagers à l'intérieur de leur futur réfectoire.
Le réfectoire d' un pensionnat
Bonne collation!... et profitez-en car, les autres jours, les repas seront servis vers midi comme dans
une caserne.
L'équipage du vaisseau "Eric VENDEST" est au complet pour les satisfaire, pour les intéresser lors de
leur longue croisière: une croisière de 31 semaines.
On n'est pas là pour discourir, pour palabrer.
Et c'est ainsi que nous passons aux choses sérieuses.
Mon enseignant, celui qui se tient à côté de moi, tout en consultant le tableau mural sur lequel se trou-
vent les effectifs des classes, m'informe qu'il souhaite travailler dans le 3ème cycle.
Son choix me satisfait... car me paraissant judicieux:"Il a la carrure, l'étoffe"... me dis-je.
Ayant fait son choix... un élément imprévu va modifier son idée première: le téléphone.
Soudain, la sonnerie de mon téléphone (le portable était, à ce moment-là, au début de son
exploitation: ayant fait son apparition dans les années 1950 aux Etats-Unis)... retentit dans le bureau.
Si par hasard, au bout du fil, j'avais droit à une nouvelle inscription?
Hélas! pas de nouvelle inscription...
Fausse alerte.
Mais un appel provenant d'une nouvelle maîtresse nommée sur mon vaisseau.
Elle s'annonce avec courtoisie, avec beaucoup de détermination aussi.
Elle se présente donc comme notre prochaine collègue.
Bien entendu, elle est curieuse de connaître sa nouvelle affectation.
Problème: sa préférence correspond exactement à celle du maître d'école.
2 pour le prix d'1.
Je présente le combiné à mon collègue pour qu'il puisse se mettre d'accord avec notre mystérieuse
inconnue.
Ils vont se mettre d'accord assez rapidement.
L'instituteur, par galanterie, va laisser sa classe à l'inconnue du bout du fil.
Malheur!
Lors d'une conversation téléphonique, on peut conclure certaines affaires, se mettre d'accord sur
certaines modalités mais choisir son cours en face d'une inconnue (façon de parler)... NON!
Les absents n'ont-ils pas toujours tort?
Mauvaise résolution car on s'en apercevra très vite.
Dès cet instant, la vie de l'établissement scolaire va basculer.
Le vaisseau ne coulera pas mais il s'enlisera au point de ne plus pouvoir naviguer.
Un puissant "Tsunami" (ou vagues scélérates) s'abattra sur notre établissement au point que la
reconstruction sera longue.
Je suis certain qu'avec un tel maître, il n'y aurait jamais eu de plainte de la part d'une mère d'élève.
Comme quoi dans la vie, il faut faire le bon choix au bon moment car le basculement dépend, le plus
souvent, d'un petit rien: d'un petit grain de sable.
J'aurais dû respecter la règle voulant que le dernier arrivant prenne les restes... comme au
restaurant.
J'ai manqué de flair.
Dès cet instant, j'ai senti que le destin changeait de cap.
La descente aux enfers commence alors pour la future équipe pédagogique... car à cet instant, je ne
connais pas encore sa composition: les autres membres devant se présenter dans les prochains jours,
dans les jours qui suivent... les uns après les autres, à la queue leu-leu.
J'ai senti comme un frisson, pire comme une secousse tellurique (je galège...) me secouer.
En effet, Lucifer, sans crier gare, était en train de changer notre "Destination finale" en s'introduisant
dans l'enveloppe de l'un d'entre-nous.
"La croisière s'amuse" (divertissante série télévisée américaine), ce sera pour plus tard...
J'ai compris que mon "ange gardien" avait été surpris par cette attaque sournoise et imprévisible.
Cependant, je ne perdais pas espoir: il ferait tout son possible, pour intervenir au bon moment.
Un "bon samaritain" n'abandonne jamais ceux dont il a la charge, dit-on...
Musulmanes
Michel Sardou
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Beyonce: Telephone
La beauté du diable
"Un jour, on découvrira des vaccins qui permettront de guérir le cancer et le sida.
En trouver un, pour soigner la jalousie ou la connerie humaine, c'est au-dessus des forces de nos chercheurs."
D'après les propos du brésilien RAÏ, élu meilleur footballeur du siècle au PSG.